Cimetière de Kalhausen
Le cimetière se trouve à gauche sur la photo.
Le premier cimetière
Emplacement des deux cimetières.
L'église
de Kalhausen fut construite en 1847. Auparavant une chapelle se
trouvait à son emplacement et le cimetière, (Kirchhof) était
placé autour du bâtiment. Suite à la visite canonique de
l'archiprêtre de Rohrbach, en date du 24 février 1772, le
procès-verbal indique que " le cimetière faisant le tour de la chapelle était en très bon état, bien fermé d'un beau mur."
Extrait du procès-verbal qui relate que le cimetière est en bon état.
Le 6 octobre 1803, l'archiprêtre Salzmann de Rohrbach remarque que l'église "est en bon état ainsi que la sacristie et le cimetière avec les murs et l'ossuaire." (Construction recueillant les ossements exhumés à cause du manque de place).
Extrait du procès-verbal de 1803 relatant l'état général de l'église.
Quelques années plus tard, le curé répond à une enquête de l'Evêché que "le mur du cimetière a besoin d'être recrépi." (25 novembre 1807)
Extrait du procès-verbal concernant l'état du mur du cimetière.
Lors de la construction de la nouvelle sacristie et de la réserve
d'eau à côté de l'église, des ossements furent trouvés et portés dans
l'actuel cimetière. (renseignement fourni par Lucien Bour)
Le nouveau cimetière
Après 1847, un nouveau cimetière est
aménagé à l’extérieur du village, au bout de la rue de l'école,
"de Schùùlgàss", l'actuelle rue des Lilas. L’accès se fait uniquement
par cette ruelle, car à cette date, la rue de la gare n'existe pas
encore. On parle alors de « Friedhof », lieu de paix et de
recueillement.
Les allées sont perpendiculaires à la rue des lilas et les tombes
alignées de part et d’autre, regardant la croix centrale faisant face à
l’entrée.
C'était l'unique porte d'entrée
de ce nouveau cimetière aménagé après 1847.
Cette croix est en fait un imposant calvaire représentant la 12°
station du chemin de croix (Jésus meurt sur la croix en présence de sa
mère et de l’apôtre Jean, debout au pied de la croix).
La date d’érection de cette croix ne nous est pas connue, mais on peut
présumer qu’elle a été érigée dès l’aménagement du cimetière. En tout
cas, elle est présente en 1854, année où le curé Brunagel obtient de
l’évêché une indulgence de 40 jours se rattachant à elle.
Calvaire à son emplacement actuel
La croix est déplacée dans les années 1985 dans le cadre de travaux
d'aménagement du cimetière et reconstituée à l’extérieur du
village, rue de la montagne, près de la ferme Hiegel.
Sur son ancien emplacement au cimetière se dresse aujourd'hui une grande croix en bois.
Ce calvaire était bien plus haut autrefois à son emplacement originel,
car le socle est enterré actuellement pour garantir la
stabilité du monument.
De même le soubassement d’origine n’a plus été utilisé. Le
calvaire a souffert de nombreuses dégradations et des réparations
ont été nécessaires (recollage des personnages latéraux, renforts en
fer à l’arrière et tiges filetées au niveau du croisillon).
Le socle est surmonté d’une épaisse table saillante moulurée donnant au
monument l’aspect d’un petit autel. Un cartouche est visible sur le
socle, mais les inscriptions ne peuvent être déchiffrées à cause de la
situation du socle.
Le décor se limite au delta mystique trinitaire, avec l’œil divin,
rayonnant et émergeant d’un nuage, sculpté sur la base du fût et
au visage du Christ tel qu’il figure sur le Saint Suaire, sculpté sur
la base du montant du croisillon.
Les personnages sont des plus classiques :
- le Christ, majestueux et longiligne, occupe tout l’espace disponible sur le croisillon
- la Vierge a les mains jointes à hauteur de
poitrine; son visage immensément triste regarde le sol, sa tête est
entourée d’une guimpe plissée
réservée d’ordinaire aux personnes âgées, sa robe à encolure ronde est ceinturée à la taille
- l’apôtre Jean, un des 4 évangélistes, porte un
livre sous le bras gauche, il lève la tête vers la croix et pleure. Sa
main droite se lève dans un
geste de refus ou de plainte.
Comme toujours, les personnages latéraux
sont de plus petite taille que le Christ, pour montrer la prédominance
du Crucifié. Ce calvaire imposant
mériterait une restauration soignée car les réparations effectuées
l’ont été très grossièrement.
Indulgence pour la croix du cimetière :
(Retranscrit le 15 septembre 1854 dans le registre des délibérations du conseil de fabrique par le curé Brunagel)
« Paul Georges Marie Dupont des Loges
Vu la requête qui nous a été
présentée par Monsieur Brunagel, curé de la paroisse de Kalhausen de
notre diocèse, à cette fin qu’il nous plaise d’accorder une indulgence
de quarante jours à chaque fidèle qui dans les dispositions convenables
priera suivant notre intention devant une croix de station érigée au
cimetière de ladite paroisse, Considérant qu’il n’existe dans la
susdite paroisse aucune autre croix jouissant de ce privilège et
voulant favoriser l’exposant ainsi que ses pieux paroissiens, Nous
avons accordé, comme par les présentes nous accordons l’Indulgence de
quarante jours à chaque fidèle de l’un ou l’autre sexe qui récitera
dans les dispositions requises devant la croix ci-dessus dénommée cinq
Pater et cinq Ave pour l’affermissement de la foi et la prospérité de
la religion dans la paroisse de Kalhausen et dans notre diocèse.
Donné à Metz sous notre seing, le
sceau de nos armes et le contreseing du secrétaire général de notre
évêché, le 26 août 1854. »
Extrait du registre du conseil de fabrique
concernant l'indulgence pour la croix du cimetière.
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Lors de la construction de la rue de la gare, en 1901-1902, le
cimetière doit être amputé d'une surface de 2,10 ares dans sa partie
basse qui longe le petit ravin de la Kluus.
L’abbé Albert, curé du village depuis 1890, alerte immédiatement les
services épiscopaux, car il ne veut pas que les tombes placées à cet
endroit soient violées lors des travaux.
La route étant une nécessité économique et ne pouvant être disposée autrement, le curé ne peut empêcher sa construction.
Les exhumations et transferts d’ossements sont alors réalisés avec le
plus grand soin par la commune, sous la surveillance de la police et
achevés en juin 1901, avant le début des travaux. Un nouveau mur est
élevé le long de la route pour clore le cimetière. L’accès peut se
faire maintenant aussi par la rue de la gare.
Dans la foulée, la commune agrandit le cimetière devenu trop petit et
le réaménage selon les vœux du curé. Le curé écrit au vicaire général
le 17 mars 1903 : « Quant au cimetière, on est en train de créer les
chemins, de rebâtir le mur et de mettre le tout dans un état
convenable. »
Un espace de 7m x 3 est encore aménagé pour l’inhumation des personnes non-catholiques.
Le curé attendait la mise en conformité du cimetière pour le bénir et
il en demande l’autorisation à l’Evêché (lettre du 3 février 1903).
Le 8 mai 1903, il écrit encore au vicaire général : « Je suis
heureux de pouvoir communiquer à l’autorité diocésaine que le
maire a enfin disposé le nouveau cimetière comme l’exigent les lois
ecclésiastiques.
La partie réservée aux protestants est donc à l’entrée du cimetière, à
droite de la porte principale donnant sur la nouvelle route et elle a
une surface de 21 m2.
Comme nous avons lundi prochain (11 mai) un service solennel pour les
défunts de la paroisse, je profiterai de cette circonstance pour bénir
le cimetière à l’issue de la messe. »
Plan établi par l'abbé Albert.
Abbé Michel ALBERT.
Né à Vahl-Ebersing le 6 septembre 1862
décédé à Kalhausen le 14 juin 1945
Bénédiction de la nouvelle partie du cimetière en 1903
L’an
mil neuf cent trois, le onze mai, lendemain de la fête patronale, a été
bénite, par le R.P. Loewf, archiprêtre de Rohrbach, la nouvelle
partie du cimetière agrandi, en présence de tous les paroissiens et de
quelques prêtres venant de villages voisins, conformément au mandat
délivré par son Excellence Monseigneur Willibord Benzler, évêque
de Metz.
La messe a été célébrée
par le R.P. Henri Pefferkorn, curé de Saint-Jean-Kourtzerode, en
concélébration avec le R.P. Manges, archiprêtre et visiteur épiscopal,
de Sarreguemines.
En foi de quoi ont signé
JM
Albert,
curé
Loewf
L'abbé Henri Pefferkorn
né le 6 février 1848 à Kalhausen.
Décédé le 9 février 1918 à Bettborn.
La visite canonique rendue en 1913 note : « Les chemins ne sont
pas assez entretenus. Au cimetière il n’y a pas de place pour les
enfants morts sans baptême. »
Le cimetière sera encore une fois agrandi vers la gare dans les années
70. Dans cette partie moderne, les allées sont parallèles à la route.
L’abbé Albert, curé de Kalhausen de 1890 à 1945, fut inhumé le 18
juin 1945 au pied de la croix du cimetière. Antoine Stab, curé de
Kalhausen de 1971 à 1983, devait, selon sa volonté, être inhumé dans la
même tombe.
Au décès de l’abbé Stab (1er janvier 1983), le maire Joseph Etienne
List dut s’occuper de l’inhumation qui eut lieu provisoirement le lundi
3 janvier 1983 dans « la tombe des prêtres », au pied de la croix.
Abbé Antoine Stab
Né le 9 septembre 1911 à Hottviller.
Décédé le 1 er janvier 1983
En vue de réaménager le cimetière et de permettre un meilleur passage
devant la croix, le conseil municipal, en accord avec le président du
conseil de fabrique, Nicolas Lenhard, décida de transférer « la tombe
des prêtres » dans le nouveau cimetière.
Le transfert fut pris en charge par le conseil municipal tandis que
l’aménagement du caveau et la pierre tombale furent pris en charge par
le conseil de fabrique. (Renseignements fournis par Joseph Etienne List)
Un ossuaire a été créé en 2008 au pied de la grande croix de bois, à la
place de la tombe de l’abbé Albert, et contient les ossements non
identifiés retrouvés lors de travaux au cimetière.
La croix en bois remplace l'ancien calvaire.
Sous les dalles blanches se trouve l'ossuaire.
En septembre 2019 suite à la chute de cette croix en bois, abimée par
les intempéries, la commune autorise l'association historique de
Kalhausen d'installer la croix "Mourer", la deuxième croix de la rue des jardins pour laquelle un emplacement était recherché, à la place de la croix abimée.
En octobre 2019 cette belle croix fut installée au cimetière à la place de l'ancienne "croix des missions".
la croix "Mourer" a trouvé sa place définitive au cimetière
Il n’y a pas encore de colombarium pour recueillir les urnes contenant les cendres des personnes incinérées.
Notre cimetière, comme ceux de beaucoup d’autres communes, n’a pas
échappé au vent du modernisme et de nombreux monuments funéraires
anciens ont disparu et sont passés à la casse dans la seconde moitié du
XX° siècle.
La très grande majorité des pierres tombales anciennes ont été remplacées par des monuments modernes en granit, puis en marbre.
Toutes ces pierres tombales tristes, lustrées et froides, sans grand
décor, où les inscriptions se limitent au patronyme, engendrent
monotonie et banalité et concourent à la perte de la mémoire de
nos ancêtres.
Les tombes anciennes font partie de notre patrimoine et sont une source
irremplaçable pour la connaissance de notre passé, les généalogistes le
savent bien.
La cause de la disparition de ces monuments funéraires est
« la mode, l’indifférence de l’opinion à l’égard de cet aspect de
notre paysage, un goût que rien ne vient éduquer. » (Henri Heitz dans
Cahier n°172 de la Société d’Histoire et d’Archéologie de Saverne et
environs)
Que reste-t-il du vieux cimetière de 1847 ? De l’art funéraire ancien
si diversifié et au décor si riche ? Pratiquement rien ou si peu…
Quelques rares monuments funéraires anciens ont été conservés dans
l’enceinte du cimetière, d’autres, aussi rares, ont été préservés et
remontés par des particuliers sur leur propriété.
Monuments anciens existant dans l’enceinte du cimetière
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Pierre tombale ancienne en grès, reconstituée à partir d’éléments éclectiques, avec dalle moderne de granit.
Fût-stèle de style néo-gothique avec décor de colonnettes spiralées à chapiteaux.
Couronnement de style néo-classique avec décor de chutes végétales de lierre, acrotères et grandes volutes affrontées.
Croix d’amortissement importante.
Le lierre est le symbole de l’attachement à une personne.
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Pierre tombale imposante en grès jaune édifiée par la famille Metzger et restaurée récemment.
Large socle néo-romantique en rocailles, avec fleurs stylisées.
Base du fût portant un décor central végétal (grande palme),
recouvert d’une banderole avec inscription en allemand (« Ruhet in
Frieden ! » reposez en paix) et encadré de deux petits panneaux carrés.
Fût carré avec stèle encadré de renforts concaves avec décor floral.
Couronnement par une rangée de denticules surmontée d’un panneau avec
le cœur enflammé du Christ, la croix et l’ancre de salut, lui-même
encadré de deux renforts concaves.
Croix d’amortissement élancée sans Christ, mais avec le monogramme du Christ XP.
L’ensemble du monument s’inscrit dans un triangle isocèle aux dimensions harmonieuses.
Les trois symboles (cœur, croix, ancre) sont la condition du salut de l’âme.
L’ancre est le symbole de la Bible, la seule chose qui puisse sauver
quelqu’un, la seule planche de salut qu’il faut saisir pour ne pas être
englouti dans le gouffre de l’Enfer.
L’ancre est ainsi synonyme d’espérance. La palme est l’attribut du martyr.
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On a voulu conserver, à côté de la stèle plaque moderne en granit, de
facture très simple et modeste, surmontée d’une croix de
ferronnerie, la stèle ancienne érigée par la famille
Aubry-Seltzer.
La colonne brisée est le symbole de la vie brusquement interrompue
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Monuments anciens conservés à l’extérieur du cimetière
Socle avec cartouche et inscription en allemand (« Ruhe sanft », repose en paix)
Fût stèle avec emplacement de plaque en plein cintre, décor végétal de
feuilles de chêne et de laurier avec ruban central.
Couronnement par corniche avec amoncellement de branchages de chêne
soutenant un livre ouvert représentant les Saintes Ecritures.
Versets mis en exergue :
Matthieu 5.8 : « Selig sind die reines Herzens sind, denn sie werden
Gott schauen. » (Bienheureux les cœurs purs car ils verront Dieu.)
Luc 22.42 : « Nicht mein Wille, sondern dein Wille geschehe. »
(Que ma volonté ne se fasse pas, mais la tienne.)
Absence du croisillon sommital.
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Beau monument funéraire de type stèle-statue et de style néo-gothique en grès.
Socle rectangulaire avec emplacement pour plaque, imitant un appareillage de pierres de taille.
Fût élancé avec emplacement principal de plaque, encadré de colonnettes
spiralées à chapiteaux,
avec une niche renfermant la statue de la
Vierge posée sur une console.
Couronnement par un cintre de tendance néo-romane orné d’une guirlande de pampres.
Croix d’amortissement modeste.
Monument Lang-Kremer.
Cet ancien monument funéraire est conservé près de la maison Jean Marie Lang de la rue des vergers.
Il fait partie d’une série de trois
monuments issus du même atelier (Karmann de Woelfling) et datés des
années 1930-1950. Les deux autres monuments sont des croix votives et
se trouvent respectivement dans la rue de la libération (croix Koch) et
la rue de la montagne (croix Kihl).
Soubassement en béton, haut socle
de section rectangulaire surmonté d’un large dé également de forme
rectangulaire en retrait par rapport au premier.
Couronnement par une piéta
surmontée d’un haut croisillon d’élévation droite en forme de croix
latine. Croisillon amplement drapé, longs pans d’étoffe tombant de la
traverse.
L’inscription figure sur le socle du monument, sur une plaque de marbre.
.
Plan de situation des zones de sépultures
La surface du cimetière de Kalhausen fait à peu près 14,70 ares. Le
cimetière est partagé en 5 zones, chaque zone est reprise
séparément avec les numéros des
tombes ainsi que les noms de famille. Pour avoir une vue sur la tombe
en question ainsi que la photo des personnes qui y reposent (en cours) il suffit de cliquer sur le N° qui se trouve devant le nom
de famille.
Zone A
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N° des Tombes - Noms des Familles
A 01 Simonin-Dallem-Simon A 02 Simonin-Weiss A 03 Freyermuth-Bellott (et Amélie) A 04 Weider-Forthoffer A 05 Lang-Dannenhoffer Stock-Dellinger A 06 Stephanus-Assant-Duche A 07 Stephanus-Hoeffel A 08 Richter-Greff-Albertus-Bruch A 09 OSSUAIRE A 10 Dier-Franck A 11 Lohmann-Dully A 12 Mourer-Philipp
A 14 Meyer-Lenhard Lenhard-Karman A 15 Meyer-Herrmann (Gross et Kutter) A 16 Muller (Bernard) Tombe supprimée A 17 Laluet-Philipp Muller-Fabing A 18 Demmerle-Freyermuth A 19 Freyermuth-Krebs Simone Kirch A 20 Lohmann-Seiler
A 20 A Freyermuth-Demmerle (Richard) A 21 Muller (Edouard) A 22 Aubry-Seltzer-Hoffmann - Freyermuth A 23 Prinzkosky-List-Wirtz A 24 Freyermuth-Juving A 25 Klein-Mourer A 26 Rimlinger-Schlegel
Rimlinger - Petri
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N° des Tombes - Noms des Familles
B 01 Freyermuth-Demmerle B 02 Freyermuth-Seltzer B 03
Ludmann-Pefferkorn-Hoellinger B 04
Neu-Petri B 05 Koch-Pefferkorn Demmerle-Koch B 06 Amann (Denis) B 07 Laluet-Meichel-Muller B 08 Stephanus-Bruch B 09
Freyermuth-Dier Gertrude Freyermuth B 10 Dier-Beckerich B 11
Pefferkorn-Ludmann B 12 Thinnes-Fabing B 13 Muller-Heydinger B 14
Lang-Metzger B 15 Herrmann-Lang B 16 Bruch-Palz B 17 Beck (Marie) B 18
Schlegel-Wendel B 19 Klein-List B 20 Bellott-Assant B 21 List-Stephanus List (Pierre et Nicolas) B 22 Hoffmann (Nicolas) B 23 Muller-Hiegel B 24 Rimlinger-Grosz B 25 Gross-Kremer Gross-Oswald B 26 Zins-Freyermuth B 27 Guinebert-Lohmann B 28 Muller-Demmerle Nicolas (Prêtre) B 29 Lang-Demmerle-Ludmann B 30 Mertes (Roland) B 31
Meyer-Koch B 32
Koch (Rémi-Elisabeth-Catherine) B 33 Muller-Philipp-Mourer B 34 Dare (Caroline) B 35
Holtzritter-Mourer B 36 Philipp-Kempf-Guinebert
B36a Muller Grégoire B 37
Klein-Gross (Tombe supprimée) B 38 Ferner-Koch-Nicolas Pefferkorn B 39 Lohmann-Bellott-D'Andéa-Wagner B39a Klein-Rimlinger B 40 Bernard-Metzger B 41
Mourer-Freyermuth B 42
Gross-Mourer B 43
Weittmann-List B 44
Hiegel-Stephanus Jean-Paul Hiegel B 45
Pefferkorn-List B 46
Pefferkorn (Victor) B 47 Rimlinger (Sebastien) B 48 Rimlinger (Pascal) B 49 Demmerle-Simon (Jean-Louis) B 50 Schaeffer-Lenhard B 51 Stamm (Marcel) B 52 Michel (Albert) Prêtre Stab (Antoine) Prêtre
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Zone C
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N° des Tombes - Noms des Familles
C 01 Proszenuck-Freyermuth C 02 Seltzer C 03 Pefferkorn-Borsenberger C 04 Muller-List C 05 Lenhard-Dehlinger et Josephine et Amélie
C 06 Lenhard-Schlegel C 07 Juving-Mourer C 08 Walicki-Weber C 09 List-Wirtz-D'Andréa-Wolff C 10 Freyermuth-Dier Gabriel Freyermuth C 11 Bellott-Kratz-Freyermuth C 12 Seltzer C 13 Rimlinger-Klein C 14 Rees-Metzger C 15 Bour-Lenhard C 16 Lenhard-Klein-Gross C 17 Klein-Pefferkorn C 18 Bichelberger-Hittinger Anne Klein C 19 Hittinger-Klein C 20 Hihl-Zins C 21 Assant-Muller Assant-Hiegel C 22 Stark-Hoffmann-Freyermuth C 23 Lenhard-Juving C 24 Demmerle (Théodore) C 25 Demmerle-Thinnes C 26 Simonin-Seltzer C 27 Lett (Charles) C 28 List-Simonin C 29 Bour (Charles) C 30 Schlegel-Lerbscher C 31 Taesch-Gross C 32 Pefferkorn (Marie-Catherine-Cecile)
C32a Seltzer-Herrmann C 33 Freyermuth-Wirtz-Dier C 34 Demmerle-Bellott (Erwin et Irène) C 35 Borner-Hoffmann C 36 Demmerle-Pefferkorn-Schreiner C 37 Lett-Jung-Pastor C 38 Metzger-Thinnes C 39 Dier-Lerbscher C 40 Kormilzin-Steffanus - Dier C 41 Lohmann (Lucien et Florian) C 42 Muller-Mourer C 43 Beck (Jean-Pierre) C 44 Jacobi (Marie-Elise) C 45 Wendel C 46 Lauer-Kleindienst
C 47 Lauer-Ducoin
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Rue de la gare
Zone D
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N° des Tombes - Noms des Familles
D 01 Freyermuth-Dier-Lett
D 02 Meichel
D 03 Juving-Thil
D 04 Gross (Florian et Albert)
D 05 Lang-Ludmann
D 06 freyermuth-List
D 07 Jacobi-Lett (Nicolas et Berthe)
D 08 Dehlinger (Lucie)
D 09 Scheffer-Grosz (Joseph et Jeanne)
D 10 Jacobi (Edouard)
D 11 Assant-kihl Aubertin-Schaeffer
D 12 Simon-Simonin
D 13 Kihl- Weider
D 14 Fabing-Juving
D 15 Schaeffer-Ball Cécile Schott Yvon Schaeffer
D 16 Bour-Lohmann
D 17 Lenhard-Helmer (Fernand)
D 18 Amann-Mourer-Birkenstock
D 19 Pefferkorn-Gross-Adam
D 20 Stephanus-Freyermuth
D 21 Steffanus-Stack
D 22 List-Klein
D 23 Rimlinger-Fischer Krebs - Dehlinger
D 24 Herrmann-Mourer
D 25 Philippe-Mourer-Steffanus
D 26 Lenhard-Freyermuth-Steiner
D 27 Freyermuth (Jean-Pierre et Elisabeth)
D 28 Wiedemann (Joseph)
D 29 Amann-Freyermuth (Joseph et Marguerite)
D 30 Klein-Bour (Remy et Mathilde)
D 31 Hoffmann - Huth (Jean-Jacques et Joséphine)
D 32 Dier-Weider
D 33 Freyermuth-Hoffmann-List
D 34 List-Simonin
D 35 Kirch-Lenhard
D 36 Bour (Nicolas et Marie)D 37 Kremer-Pefferkorn (Pierre et Louise)
D 38 Schmitt-Kihl
D 39 Neu-Muller Neu-Ferstler
D 40 Borner-Duche (Gisèle et André)
D 41 Guinebert-Philipp
D 42 Freyermuth-Demmerle (Laurent - Joséphine)
D 43 Seiler-Reich-Engel
D 44 Steffanus-Stephanus
D 45 Diener-Muller
D 46 Behr-Lett
D 47 Klein-Gerard
D 48 Freyermuth-Demmerle (Marcel - Norbert et Rose)
D 49 Freyermuth-Lohmann et Catherine Freyermuth
D 50 Dier-Amann
D 51 Lenhard- Gapp
D 52 Proszenuck-Wecker-Bellott
D 53 Hoffmann-Dier
D 54 Holtzritter-Demmerle-Fischer
D 55 Freyermuth-Lehmann
D 56 Kremer-Scheffer (Roger)
D 57 Bour-Kremer (Lucien et Marie)
D 58 Bellott-Geisler (Joseph, Yvette et Jacinthe)
D 59 Muller-Lenhard René Muller
D 60 Freyermuth (Jacques, Marcel, Fernand, Nicole)
D 61 Jung-Muller (Joseph et Marie) Gabriel Jung
D 62 Simonin-Manns-Lohmann
D 63 Lohmann-Gregorin Bernard Lohmann
D 64 Karman-D'Andrea (Olivier, fabien et Joseph)
D 65 Dellinger (Théophile et Denise)
D 66 Dellinger (Roger)
D 67 Lehmann-Dier Ernestine et René)
D 68 List Joseph et Cécile
D 69 Thinnes-Rimlinger-Freyermuth
D 70 Ludwig (Julien)
D 71 Beck-Laluet (Pierre)
D 72 Koch (Karl-walter)
D 73 Ferner-Dehlinger (Joseph et Adèle) Joseph Ferner
D 74 Freyermuth-Herrmann (Armand)
D 75 Simonin (Tony et Betty)
D 76 Zins-Stephanus (Camille et Lucie)
D 77 Lazzarotto-Gross (Pierre et Hélène)
D 78 Amann-Bellott (Ernest et Marie)
D 79 Kohler - Amann (Rolande)
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L'espace cinéraire du cimetière avec 12 cavurnes
Les défunts qui y reposent
Une nouvelle série de trois cavurnes ont été installées à la suite des précédentes.
(Mise à jour 13/03/2024)
Cavurne 13
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Cavurne 14
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Cavurne 15
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ESPACE CINERAIRE
Aire de dépose des cendres
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Hannelore Schmitt née Mitschi
* 12/05/1945
+ 29/03/2019
les cendres de Mme Hannelore Schmitt née Mitschi ont été déposées dans l'éspace cinéraire.
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Ewald Lenhard
* 27/04/1942
+ 05/09/2024
Les cendres de M. Ewald Lenhard ont été déposées dans l'éspace cinéraire.
****
L'espace cinéraire est également doté d'un colombarium composé de 12 casurnes.
(Mise à jour 3/02/2024)
Casurne 1
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Casurne 2
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Casurne 3
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Casurne 4
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Casurne 5
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Casurne 6
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Casurne 7
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Casurne 8
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Casurne 9
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Casurne 10
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Casurne 11
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Casurne 12
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Février 2013.
Gérard KUFFLER, Jean MEYER, françois FREYERMUTH, Jean-Marie PEFFERKORN.